La belle-mère commence à se calmer. Ses pleurs refluent et ses sanglots se tarissent. Elle renifle. Les morts sur les murs contemplent les deux femmes sans ciller. Au bout d'un long moment elle redresse la tête et regarde Kaarina dans les yeux. Sa main se lève lentement et touche la joue de Kaarina, comme si elle écartait légèrement une mèche de cheveux ou chassait une mouche en été. A la commissure de ses lèvres quelque chose monte, comme un sourire peut-être.