Ce nouveau Nick n'allait pas beaucoup au cinéma, mais il avait vu Alain Delon dans le Samouraï, un film sur un tueur à gages qui ne parlait pas, qui n'avait pas d'émotions, qui vivait dans un appartement austère à Paris avec un oiseau en cage. C'était Nick. C'était son appropriation. Un tueur à gages fictif dans un film des années 60 dans lequel nihilisme et existentialisme - je suis et il n'y a rien d'autre - se combinaient au meurtre.