Les progrès toujours croissants du luxe contribuèrent aussi à la dégradation du goût. L’art fut attaqué dans son essence même. Vitruve et Pline ont exprimé leurs regrets sur ce que les hommes riches de leurs temps, qui ornaient de peintures leurs vastes habitations, commençaient à préférer l’éclat des couleurs les plus rares et les plus coûteuses à l’intérêt de la composition et à la noblesse du dessin.