Les fantômes de Buenos-Aires
Aussitôt débarqué, Albert Londres est frappé par la luminosité de la capitale : elle tient dans le coeur des Argentins la place que le soleil tient dans le ciel ! c'est la lumière. En effet, que de lumières ! Les maisons sont festonnées d'ampoules électriques " ["Le Chemin de Buenos-aires "] (p. 318]