j'allais, en un vertige, d'un tableau à l'autre. Tout est maintenant clair.A l'allégresse et à l'exaltation de la Résurrection, j'avais, en fait, choisi la nuit et le dénuement de la Croix. Mais depuis quand exactement ?
Le martyre des innocents, l'immolation d'enfants, la galerie des violences dans Kolwezi ne me donnent aucune raison de célébrer la beauté de la nature et, encoree moins, de chanter la joie des enfants de Dieu.