Autrefois on écrivait : Hic sunt leones sur les cartes pour indiquer les territoires inconnus qu'il valait mieux éviter, et sur les cartes nautiques: Hic sunt dracones. De nos jours, on s'aventure partout sans rencontrer de lions ni de dragons. Ils ont tous disparu, tout comme les taches blanches qu'ils habitaient. De nos jours il faut voyager sur les traces de ce qui disparaît.