Zohar a 13 ans, elle habite à Lyon. Avant elle vivait à Jérusalem avec sa famille mais l'horreur les a poussés à déménager, à changer de pays. Pourtant, elle retrouve un peu de cette horreur quand elle voit que le racisme et la haine de l'autre peut s'inviter même dans une cour d'école...
Gazaoui est un livre jeunesse qui évoque le conflit israélo-palestinien à travers des enfants. Etonnant de voir comment les haines inculquées par des adultes arrivent jusqu’à ces adolescents. Zohar, au centre de l’histoire, découvre aussi l’amour. Les sentiments qu’elle éprouve pour un certain Ismael, que d’autres considèrent comme un rival, ne sont pas faciles à cacher.
Un livre, dur, à ne pas mettre entre toutes les mains, même s’il permet aux jeunes de commencer à comprendre ce monde où rivalise amour et haine.
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Un livre sur lequel je suis tombée un peu par hasard parce que la prof documentaliste de mon collège me l'a mal vendu...elle m'a fait un résumé qui n'avait rien a voir avec l'histoire... du coup en commencent je me suis demandé dans quoi je m'étais lancée! Le style d'écriture très particulier m'a d'abord déranger mais petit a petit je me suis mise a aimé cette façon poétique de raconter les choses...
Je n'avais jamais lu ce genre d'histoire de SDF au paravent et ça ma bien plu, lu en une soirée, avec la ... ok... les petites larmes qui vont bien.
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Je n'ai pas du tout accroché à cette histoire. Le fond et le message que l'auteur veut faire passer est certes intéressant mais pour moi la façon (ou l'histoire) qu'il a utilisé pour la faire passer ne m'a pas fait rentrer dans l'histoire et ne m'a pas fait ressentir les émotions et le message que le personnage ou l'auteur veut faire passer aux lecteurs.
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A la poursuite des origines.
Pas facile lorsque l’on est un enfant adopté. La question finit par s’imposer : qui était ma mère biologique ?
C’est ce qui arrive à Léo, 10 ans. Alors qu’il se balade dans une fête foraine, il pénètre dans l’antre d’une voyante et pose la seule question qui vaille.
Et voilà Léo parti avec sa copine sur les traces hypothétiques de celle qui l’a fait naitre, et abandonné.
C’est typiquement le genre de livres que les parents adoptifs achètent à leurs enfants adoptifs. Mais difficile pour moi de leur conseiller ce titre car plusieurs choses m’ont dérangé :
- Léo appelle ses parents par leurs prénoms, jamais par papa ni maman, réservé à sa « vraie mère ».
Les enfants nés sous X sont adoptés à l’âge de 3 mois, j’imagine très mal les adoptants dire à leur enfant de les appeler par leurs prénoms !
- L'autrice parle aussi du fait que l'enfant pourra prendre connaissance lors de sa majorité d'un courrier de sa mère biologique. Mais tel n'est pas toujours le cas... Parfois, il n’y a rien, ou pas grand-chose. Laisser croire à un enfant adopté que tout s’éclairera lors de ses 18 ans est à mon sens une grossière et tragique erreur.
- Sur l’histoire elle-même, je n’ai pas arrêter de me demander qu’elle était ce genre de fête foraine/cirque qui reste à demeure dans une ville. Pas très crédible, et les enfants qui lisent aiment une certaine logique…
En outre, l’autrice critique le traitement des animaux de cirques, mais laisse planer le doute sur les dons de voyance.
Pour tous ces défauts, mais notamment ceux concernant l’adoption des enfants nés sous le secret, je déconseille l’achat de ce livre ou que les parents le lisent avant de le donner à leur enfant.
Critique réalisée dans le cadre d’une opération Masse Critique
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Un roman initiatique où le merveilleux flirte avec les questions bien réelles et bien légitimes d'un petit garçon de 9 ans né sous X.
Un roman d'aventures où la quête identitaire se transforme en quête écologique.
Un beau roman, dans lequel Léo le héros part à la recherche d'un ours polaire pour retrouver sa mère, suite aux révélations d'une voyante un peu bizarre...
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Un texte pour la jeunesse sur l'après tremblement de terre en Haïti.
Une bonne manière d'en parler. Ce livre traite aussi de l'aide international par le biais d'une marraine en France qui écrit à Tifi.
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C’est tout d'abord l’histoire d’une très jeune fille, Zohar Adler, née en Israël à Jérusalem , contrainte d'émigrer et de partir vers la France à Lyon, pour cause de dangers excessifs tels que les tirs de roquette, les attentats-suicides qui frappent cette terre .
Très vite, cette jeune préadolescente s’initie aux premiers rites amoureux parmi lesquels les baisers sur la bouche, les caresses .C’est un garçon nommé Nico qui tient le rôle de l'initiateur mais Zohar est attirée très vite par un autre garçon du nom d’ismaïl, qui a un point commun avec Zohar : il vient de la même région du globe, le Moyen-Orient, mais de l’autre côté de la barrière .Il est palestinien, originaire de la bande de Gaza.
Nico, le frère de Zohar, n’accepte pas du tout cette attirance de sa sœur pour lui, encore moins son père qui ne voit dans les Arabes que des terroristes en puissance.
Dans ce récit, faussement naïf, des interrogations surgissent dans le fil des réflexions de Zohar .Sur les premiers habitants de la Palestine par exemple, dont elle se demande qui ils furent et s’ils ont un droit prééminent sur cette terre : « Alors on ne sait pas vraiment qui était là en premier. Ce n’est pas parce qu’on arrive quelque part en premier que la terre nous appartient .Je pense qu’on doit apprendre à vivre ensemble, c’est tout. » Ce propos de bon sens tenu par ma mère de Zohar la convainc, tout comme ce constat sur la situation de l’exil, ressentie communément par Zohar, comme Juive et par Ismaïl, comme palestinien en recherche de sa terre d’origine.
Un accident survient à ce jeune homme, ce qui bouleverse Zohar, qui nourrit bien sûr les plus vifs espoirs de guérison pour ce garçon, mais élabore aussi ce qui apparaît comme un véritable plan de paix que les diplomates pourraient fort bien s'approprier .Zohar rêve de partir pour Gaza, de réconcilier juifs et palestiniens, de créer des associations « pour l’entente de nos deux peuples . »
Beau récit qui met bien en évidence ce qu’ont de commun des nations, des peuples qui s’opposent : ils sont des êtres humains, capables de s’entendre, de s’unir, de réaliser des rêves inaccessibles de paix et de concorde ,pour peu qu’ils le veuillent vraiment.
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Léo est né sous X et a été adopté par un très gentil couple. A 10 ans, il commence cependant à se poser des questions sur sa mère biologique. Après une rencontre avec une voyante qui lui prédit qu'il faut suivre la trace des ours polaires pour retrouver sa mère, Léo va se lancer dans une folle aventure accompagné de sa meilleure amie Laura.
Ce livre destiné aux jeunes lecteurs aborde le délicat sujet de l'adoption. Comment faire comprendre à un jeune enfant que si sa maman biologique ne l'a pas élevé, il peut exister tout un tas de raisons compréhensibles ? Vaste sujet compliqué... L'autrice Valérie Lacroix nous présente ici les questionnements d'un enfant adopté et la culpabilité qu'il en ressent face à ses parents adoptifs. Il ne souhaite pas les blesser, mais il aimerait quand même savoir qui est sa "vraie" mère.
Je n'ai malheureusement pas totalement été conquise par cette aventure rocambolesque qui se déroule principalement dans l'univers du cirque, peut-être parce que ce milieu n'a pas résonné en moi. J'ai également trouvé particulier le fait que Léo appelle ses parents adoptifs par leurs prénoms. Je ne sais pas si cela est habituel chez les enfants adoptés, mais ceux que j'ai connu appelaient leurs parents adoptifs par les termes 'Papa' et 'Maman'. J'ai par contre particulièrement apprécié les jolies illustrations de Laurence Schluth qui parsèment ce livre.
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Léo est un jeune garçon de 10 ans, né sous X et adopté par Katia et Olivier à 2 mois. Alors qu'il déambule avec Katia le long des manèges de la fête foraine, il décide d'utiliser son dernier billet de 5€ pour demander à une voyante où se trouve sa mère biologique. La voyante lui fait alors une réponse aussi mystérieuse qu'inattendue, qui va entraîner notre jeune Léo dans bien des aventures et de questionnements: "Il faut suivre la trace des ours polaires"
A travers l'histoire de Léo, l'auteure Valérie Lacroix réussit à décrire avec bienveillance les interrogations que peuvent se poser les enfants adoptés, entre le désir de savoir et la crainte de la réaction des proches - famille et amis. C'est fait avec tendresse et douceur sans tomber dans la facilité ou le pathos. Destiné à un public de jeune lecteur (10-15 ans), ce roman se lit facilement, les nombreuses illustrations, les interlignes plus larges, rendent la lecture aisée même pour un public qui n'a pas forcément l'habitude de lire. De l'aventure, du suspense, de l'amitié et de l'amour - ce roman est un condensé de tout ce qui peut plaire à nos jeunes lecteurs.
Une belle réussite!
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Zohar, est israëlienne, elle a 13 ans. Il y a quelques années, ses parents décident d'émigrer en France pour fuir le cauchemar de leur pays. Elle découvre la vie d'adolescente, un petit ami... Jusqu'au jour où Ismaïl arrive dans son école, il est comme elle, déraciné, il vient de Gaza. Zohar sait que leurs peuples sont ennemis, mais elle est irrémédiablement attirée vers ce garçon.
Un très bon livre où nous abordons le conflit israélopalestinien à travers le regard d'une jeune adolescente, dont le rêve est d'y mettre fin.
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Toute l'histoire est résumé dans le titre de ce roman. Je n'ai pas vraiment réussi à m'attacher aux personnages. Une lecture cependant rapide qui décrit les difficultés d'une jeune fille de 17 ans dans la rue, suite à une rupture familiale.
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