Tu es l'élu de Jupiter, comme tu es celui de Rome, ô Empereur ! Et puisque le maître de la foudre n'a plus de prêtre dans la cité pour transmettre sa volonté, c'est moi, le premier augure, qui te bénis en son nom. Maintenant et maintenant seulement, Auguste, tu succèdes vraiment à Jules César. Puisses-tu être un Grand Pontife aussi digne et pieux que lui !