AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

4.15/5 (sur 30 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Née et élevée au Royaume-Uni, Vanessa Fewings a ensuite vécu en Allemagne, à Hong Kong, et à Chypre. Diplômée en psychologie, elle a été infirmière.
Elle vit maintenant avec son mari aux Etats-Unis où elle est un écrivain de romance à succès.
Elle est l'auteur de The Stone Masters et de Enthrall.

Site : www.vanessafewings.com

Source : www.vanessafewings.com
Ajouter des informations
Bibliographie de Vanessa Fewings   (6)Voir plus

étiquettes

Citations et extraits (10) Ajouter une citation
Cameron avait raison, bien sûr. J’étais destinée à retrouver Richard, mais c’était lui qui me donnait le sentiment d’être en sécurité. Même maintenant, alors qu’un homme d’affaires détraqué me poursuivait, j’avais la sensation que seul Cameron pouvait gérer la situation.

Bientôt, Richard nous rejoindrait et je reprendrais le cours de ma nouvelle vie.

Richard avait besoin que je me soumette totalement à lui. Et je résistais encore à l’idée d’une soumission quotidienne. Toutes mes pensées me ramenaient à lui. L’homme qui, en cet instant, détenait le contrôle sur moi. Celui qui exigeait mon entière obéissance.

Je luttais contre les deux.

L’ironie résidait dans le fait que je ne m’étais jamais sentie plus aimée. Je n’avais jamais su ce qu’être chérie signifiait avant de rencontrer ces deux hommes qui ne pouvaient être plus différents l’un de l’autre. L’un était pragmatique. L’autre, un intellectuel. L’un était émotionnellement instable. L’autre se maîtrisait si parfaitement que tout le monde s’en remettait à lui.

-Tu vas à Londres, me suis-je déclaré. C’est un rêve qui devient réalité.

Que ferions-nous là-bas tandis que nous attendrions que Lance se calme ? Je refusais de le laisser gâcher mon séjour.
Commenter  J’apprécie          10
Mes pieds m’ont mené loin de l’ascenseur, au bout du couloir. J’ai aperçu une porte munie d’un panneau RÉSERVÉ AU PERSONNEL.

[…]

Après avoir posé mes escarpins par terre, j’ai retroussé ma jupe et tenté de refixer mon bas à la jartelle.

Une opération délicate.

Mes doigts glissaient alors j’ai remonté un peu plus ma jupe pour me faciliter la tâche. Une fois le tout en place, j’ai arrangé ma culotte bleu layette taille haute. C’est alors que j’ai repéré un mouvement dans la pièce…

J’ai redescendu ma jupe, ma bouche formant des paroles d’excuses, mais échouant à les prononcer. Je me suis baissée pour ramasser mes chaussures et j’ai couru vers la porte, passant la main derrière mon dos pour ajuster ma jupe.

Oh, non. J’avais encore les fesses à l’air.

Rouge écarlate, je me suis bagarrée avec le tissu récalcitrant, tâchant de dissimuler mon embarras afin de pouvoir présenter mes excuses à l’étranger.

Mes yeux se sont fixés sur la sculpture de chair et de sang.

Arrivant à la porte, j’ai essayé de détacher mon regard de ce majestueux spécimen de mâle qui m’observait d’un air aussi surpris que ravi.

J’ai expiré enfin, captivée par son torse hâlé et le relief exquis de ses abdominaux mis en valeur par son pantalon noir taille basse qui révélait la naissance de ses hanches. Le tatouage complexe sur son bras gauche m’évoquait un motif polynésien, avec ses entrelacs d’encre noire et son image centrale.

Les battements de mon cœur se sont accélérés tandis que je fouillais ma mémoire pour me souvenir d’où je le connaissais. Je suis restée muette d’admiration devant cet époustouflant Adonis, qui attrapait la chemise blanche suspendue au dossier d’une chaise. Il était grand et follement séduisant, il dégageait quelque chose de sauvage. La trentaine, peut-être . Ses cheveux blond foncé coupés court encadraient son visage superbe. Sa barbe de trois jours lui donnait un air obstiné et son petit sourire ironique respirait l’assurance. Ses iris verts offraient un contraste saisissant avec son teint de bronze. Son regard immense resta rivé au mien tandis qu’il passait un bras dans la manche de sa chemise, cachant le tatouage avant que j’aie pu l’étudier.

J’ai réprimé un hoquet lorsque j’ai compris que nous ne nous étions jamais rencontrés, sans doute parce que cet homme était Tobias William Wilder, un milliardaire. Il évoluait dans les hautes sphères, ce qui n’avait rien de surprenant pour ce magnat de l’industrie et inventeur de génie qui possédait TechRule, l’un des plus gros éditeurs de logiciels au monde.

Et j’avais offert à ce richissime play-boy un spectacle érotique privé.
Commenter  J’apprécie          00
Mes pieds m’ont mené loin de l’ascenseur, au bout du couloir. J’ai aperçu une porte munie d’un panneau RÉSERVÉ AU PERSONNEL.

[…]

Après avoir posé mes escarpins par terre, j’ai retroussé ma jupe et tenté de refixer mon bas à la jartelle.

Une opération délicate.

Mes doigts glissaient alors j’ai remonté un peu plus ma jupe pour me faciliter la tâche. Une fois le tout en place, j’ai arrangé ma culotte bleu layette taille haute. C’est alors que j’ai repéré un mouvement dans la pièce…

J’ai redescendu ma jupe, ma bouche formant des paroles d’excuses, mais échouant à les prononcer. Je me suis baissée pour ramasser mes chaussures et j’ai couru vers la porte, passant la main derrière mon dos pour ajuster ma jupe.

Oh, non. J’avais encore les fesses à l’air.

Rouge écarlate, je me suis bagarrée avec le tissu récalcitrant, tâchant de dissimuler mon embarras afin de pouvoir présenter mes excuses à l’étranger.

Mes yeux se sont fixés sur la sculpture de chair et de sang.

Arrivant à la porte, j’ai essayé de détacher mon regard de ce majestueux spécimen de mâle qui m’observait d’un air aussi surpris que ravi.

J’ai expiré enfin, captivée par son torse hâlé et le relief exquis de ses abdominaux mis en valeur par son pantalon noir taille basse qui révélait la naissance de ses hanches. Le tatouage complexe sur son bras gauche m’évoquait un motif polynésien, avec ses entrelacs d’encre noire et son image centrale.

Les battements de mon cœur se sont accélérés tandis que je fouillais ma mémoire pour me souvenir d’où je le connaissais. Je suis restée muette d’admiration devant cet époustouflant Adonis, qui attrapait la chemise blanche suspendue au dossier d’une chaise. Il était grand et follement séduisant, il dégageait quelque chose de sauvage. La trentaine, peut-être . Ses cheveux blond foncé coupés court encadraient son visage superbe. Sa barbe de trois jours lui donnait un air obstiné et son petit sourire ironique respirait l’assurance. Ses iris verts offraient un contraste saisissant avec son teint de bronze. Son regard immense resta rivé au mien tandis qu’il passait un bras dans la manche de sa chemise, cachant le tatouage avant que j’aie pu l’étudier.

J’ai réprimé un hoquet lorsque j’ai compris que nous ne nous étions jamais rencontrés, sans doute parce que cet homme était Tobias William Wilder, un milliardaire. Il évoluait dans les hautes sphères, ce qui n’avait rien de surprenant pour ce magnat de l’industrie et inventeur de génie qui possédait TechRule, l’un des plus gros éditeurs de logiciels au monde.

Et j’avais offert à ce richissime play-boy un spectacle érotique privé.
Commenter  J’apprécie          00
C’était de la folie.

Ma vie était coupée en deux : avant Wilder et après lui. Chaque pas prudent me menait vers cet homme complexe, énigmatique, qui floutait la frontière entre le bien et le mal comme personne. Si je voulais vraiment parvenir à mes fins et le sauver après tous les risques qu’il avait encourus, je n’avais pas le choix. Je devais me faire violence et repousser mes limites comme jamais.

C’était Tobias qui m’avait appris à me surpasser et à résister à la peur. Ironique, non ?

Il m’avait montré la voie.
Commenter  J’apprécie          10
L’équipe de Huntly Pierre s’était rassemblée pour la réunion de 17 heures.

J’ai tâché d’arborer une expression déterminée, adoptant une attitude strictement professionnelle, car je ne voulais rien révéler de mon déjeuner tardif qui avait débouché sur une partie de jambes en l’air dans mon bureau avec l’un de nos plus éminents clients.

Tobias William Wilder. Bordel, même son nom débordait de sensualité.

J’avais passé les vingt dernières minutes aux toilettes, à essayer de reprendre mes esprits, arrangeant ma coiffure et réappliquant mon maquillage, et je m’efforçait à présent d’effacer ce ridicule sourire béat de mon visage.

Je me sentais fondre rien qu’en pensant à lui.

Tobias avait mis mon univers sans dessus dessous et je n’arrêtais pas de revivre ses instants partagés dans les moindres détails, savourant chaque baiser, chaque caresse, chaque délicieux mouvement par lequel il m’avait fait chavirer.
Commenter  J’apprécie          00
-Laissez-moi vous montrer à quel point vous êtes exquise.

Il a pressé ses lèvres contre les miennes, violemment, me forçant à ouvrir la bouche, me provoquant, me capturant avec férocité. Son érection était plaquée contre mon ventre. Le plaisir et la douleur qu’elle pouvait me procurer étaient bien trop réels. Incapable de le repousser, je n’avais d’autre choix que de m’abandonner à ce baiser, submergée par l’ivresse que me procurait son étreinte.

Cet homme ne jouait pas dans la même catégorie que moi. Pourtant, il était là avec moi, à me séduire, sa langue de velours dansant avec la mienne. Il avait dit que j’étais exquise. Il me poussait à le croire. Ce rêve éveillé était un fantasme inaccessible. Une vague de plaisir grandissait en moi alors qu’un gémissement montait à mes lèvres. J’étais folle de désir.
Commenter  J’apprécie          00
-Pourquoi moi, Cameron ? Pourquoi m’avoir choisie ?

-Vous êtes l’incarnation de la figure féminine. Contrôler l’évolution de votre beauté entre mes mains me procure une extase incomparable. Vous êtes une drogue dont je refuse de me priver.

Ensorcelée par ses paroles, j’ai ressenti un besoin désespéré de goûter sa bouche, de sentir ses bras autour de moi, ses mains puissantes explorer mon corps. Ce désir pour Cameron devenait de plus en plus intense, comme s’il avait éveillé cette attirance pour mieux me soumettre à un esclavage érotique, attisant ce besoin d’être possédée avec fougue.
Commenter  J’apprécie          00
« Nous. Le rêve impossible qui n’avait jamais été une réelle possibilité, une histoire d’amour illusoire sur fond de notre amour mutuel pour l’art. Pourtant, mon corps et mon âme me disaient que nous étions faits pour être ensemble, même si mon esprit en doutait. »
Commenter  J’apprécie          00
L’affection de Tobias m’aidait à voir l’art sous un angle différent, et contempler le monde avec émerveillement me permettait d’ouvrir davantage mon cœur.
Commenter  J’apprécie          00
L’affection de Tobias m’aidait à voir l’art sous un angle différent, et contempler le monde avec émerveillement me permettait d’ouvrir davantage mon cœur.
Commenter  J’apprécie          00

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Vanessa Fewings (24)Voir plus

Quiz Voir plus

Pars vite et reviens tard, Fred Vargas,2002

Comment s'appelle l'enquêteur et personnage principale de l'histoire ?

Hercule Poirot
Théo Vautrin
Jean-Baptiste Adamsberg
Azziz Bouzelouf

10 questions
344 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *}