Je ne suis pas prêt, le chemin est encore long. Je sais que ma nouvelle vie en France exige un esprit fort et une mémoire blanche. (...) Je sais que mon salut, ma Thérapie d'approche cognito-comportementale, ne doit être qu'une seule chose : l'écriture.
Il me faut apprendre le plus rapidement possible le français. Ainsi ma douleur restera à jamais dans ma langue maternelle. (p. 34)