Elle avance son bras à la fenêtre, le remue doucement et se force à le regarder. Son corps est dissimulé à elle-même, il n'est plus le sien, il porte les cicatrices profondes du fouet et des tatouages, des boursouflures laides comme des serpents croisés.
Son bras ressemble à la nuit, une étoile pourrait se poser sur son poignet, comme un oiseau.