Je m'attendais à être incarcéré dans une cellule quand l'un des policiers m'informa aimablement que je pouvais rentrer au campus. Il ajouta que je n'avais ni le droit de quitter le territoire ni celui de recommencer à tuer des gens. Mais qu'en dehors de cela, je pouvais reprendre mes activités. Il m'enverrait sous peu un courrier pour m'informer des modalités à suivre. Voilà. C'était tout. Et surtout que je fasse bien attention à la petite marche en sortant. (p.129)