Là, c’est le désordre. Cartons empilés, cartons conservés, paquets de pâtes, litres de lait, jouets des enfants, disques, cassettes vidéo de Pasolini, Tarkovsky, Eisenstein. La table est toujours encombrée. Tous les espaces, ici, sont toujours encombrés. On ne s’y retrouve pas. On s’y perd. C’est une maison dans laquelle chacun est perdu. Les pièces ont été colorées mais le noir gagne, par les fenêtres. La misère est prête à y entrer.