J’attrape le cadre de bois jaune qui entoure le miroir, et, voulant le décrocher, le brise aussitôt. Le bois me reste dans les doigts. Ce n’est pas du verre que le cadre libère, mais de l’eau. Une grande vague d’eau salée sur mon visage et dans mes yeux, qui me rince entièrement et me laisse hébétée.