Quand le noir revient, on ne me bâillonne pas. Alors d’habitude, d’inconscience ou bien d’instinct, un Rubaïyat me sort de la gorge. Un de réconfort.
Autour de moi, à m’entendre, ça soupire de joie et de soulagement. J’ai le temps de deux strophes
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Je te rassérène et je te tiens
Je sème des paroles dans le rien
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