Sur la piste, Michel l'ambianceur danse la mobylette. C'est un complice de Royce, rasta lui aussi, chargé de faire bouillir la salle d'O Poeta les vendredis soirs. Assemblés en cercle autour de lui, les danseurs miment ce que je comprends être le démarrage d'un cyclomoteur, en lâchant de grands «vroum!». Le public est déchaîné. Tout le monde semble bien s'amuser. Mais, pour moi, l'intermède est de courte durée. Royce me fait signe de regagner la scène pour le final.