La seule lutte qu'on perd est celle qu'on abandonne.
Il vivait pour ne pas mourir; non parce qu'il aimait la vie, mais parce que la mort le terrifiait.
Des yeux de prairie fauchée...
... le vol des oiseaux... leurs joyeuses cabrioles sur les tobogans du vent.
... elle sillonna la Péninsule entière sans trouver un lieu à s'approprier.
Dommage que les morts soient muets et que les vivants soient sourds.