Si les orangers, dans les champs des faubourgs de la ville, ployaient sous les fruits, le reste de la nature semblait nu et brûlé. Aucune semence n'avait été plantée. Ils longèrent au pas des maisons, des fermes et des églises en ruine. Il était étrange de ne pas voir les fermiers travailler dans les champs, et l'absence d'animaux sautait aux yeux : ni chèvres, ni moutons, ni ânes.