Je ne suis pas emballée à l’idée de me retrouver au centre d’un règlement de comptes. Rejoindre le groupe des jeunes, c’est servir de cible à Van der Bitten. A l’inverse, se mettre du côté du fusil, c’est risquer d’être prise en otage au moment de l’arrivée de la police. Rien de très positif.