Ensevelie sous quatre-vingt kilos de chair à peine contenue par de robustes armatures de gaine et soutien-gorge, je lutte pour ne pas tomber, asphyxiée par un curieux mélange de Dior et de moisi de caniche. Je la repousse le plus doucement possible, pâle tentative pour revenir dans le monde normal, celui où nous aurions une relation strictement professionnelle, basée sur une hiérarchie clairement établie.