- Ça ira mieux demain.
Je me rends compte en la prononçant de l’inanité de ma phrase. C’est souvent le propre des formules de soutien, de n’avoir d’autre utilité que de tromper son impuissance. Je n’ai jamais entendu autant de fois « c’est la vie » qu’au moment où j’étais confrontée à la mort.