C’est d’une cruauté sans nom de voir s’éteindre quelqu’un qu’on aime, de pouvoir encore toucher ses mains, caresser sa peau, entendre sa voix, voir sa poitrine se soulever, sentir son souffle, recevoir son regard, de pouvoir s’en repaitre, s’en gaver, en sachant que ce sera bientôt fini et que ce bientôt ne nous appartient pas.