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3.46/5 (sur 12 notes)

Nationalité : France
Né(e) : 1970
Biographie :


Virginie Reisz est née à Paris en 1970. Après des études de lettres supérieures classiques, elle s’installe à Jérusalem où elle travaille pour l’édition française du « Jerusalem Post » puis revient à Paris.
Elle publie son premier roman « Vole vole papillon » en 2003 aux éditions Joëlle Losfeld, « L’insulaire » en 2004 et « Collision » en 2005 aux éditions de la Martinière, « Sonate d’été » en 2006 aux éditions Mercure de France, et « À l’immortelle Bien-aimée » en 2009 aux éditions Le temps qu’il fait

Source : http://virginiereisz.over-blog.fr
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Citations et extraits (9) Ajouter une citation
« La DUREE s'engouffre dans une spirale, se délite. Je m'arc-boute. Je me mets à haïr le temps perdu, les réunions de travail, les transports, les heures gâchées. J'ai envie de rupture, de quitter Pierre, le temps qui patine spolie le temps de vie, pourquoi ne le comprend-il pas ? Je sais que j'ai tort au fond, que ce n'est pas ma vie ; surtout que la vie ne se laisse pas arrêter quand on veut, qu'elle dirige par son absence de concessions, de compromis, que nous ne faisons que la subir. »
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De me rappeler ton sourire, tes yeux, ta peau que je connaissais avant de la toucher, m'emporte, mon ange, hors de ma chambre, hors de mes barreaux, hors de ma douleur
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« Aimer sans que cela soit réciproque, c'est dur. Aimer en sachant que l'autre n'aura pas longtemps le choix de ne pas vous aimer, c'est terrifiant, destructeur, insurmontable. Je dois accepter, vivre, aller bien à tes côtés, pas trop près, pas t'étouffer. Il faudra bien que je l'admette : je ne peux pas te porter. Je ne peux rien, sauf accepter la mort de cette part de moi qui vit de toi ou lutter pour elle à ta façon : jusqu'à la fin, au maximum, sans autre espoir que celui d'une rémission. »
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« Allez le voir, m’avait-on dit, il est très pris, mais c’est un magicien. »
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« Peut-être suis-je folle. Je suis en tout cas frappée de cet amour mort-né, dont on ne sait pas s'il aurait pu grandir. »
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« Aimer, cela se conjugue avec avenir, avec projets ? Mon verbe est donc irrégulier, il n'en demeure pas moins vrai. Je t'oublierai sans doute plus vite, il y aura moins de traces, moins de vestiges, moins d'éclats de vies disséminés. Ca n'en aura pas moins été. »
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« Je pense à l'absence des hommes, cette manière d'être là puis de s'envoler, cette beauté de la paume ouverte, crispée sur un ailleurs imprévu, sur leur désir assouvi quand celui des femmes se redéploie, chatoie d'un appel. »
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Ta maladie t'a rendu prisonnier, maîtresse-duègne, elle te fait plier, lui céder. Elle a renfermé nos impulsions dans ce couloir d'hôpital que tu arpentes sous perfusion
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Elle le voudrait mort pour qu'il n'ait plus la possibilité d'en aimer une autre, pour ne plus se figurer cette atrocité. Elle ou lui, mort. Elle n'a pas de préférence.
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