Longtemps, à la lueur des bougies, Oswald et Alix se livrèrent à une étrange chorégraphie au centre de la salle. Leurs ombres dansaient sur les murs, celle d'un géant et d'un farfadet. Ils étaient seuls au monde, plus rien n'existait, ni la guerre ni la peur, juste le plaisir de transmettre et d'apprendre.