Pour lui le mot écrit n'existait que dans sa pureté abstraite, dans son irrépétable appel à un esprit également idéal. Il appartenait exclusivement à son créateur et (contrairement à ce que soutenait Ada) ne pouvait être prononcé ou joué par un mime sans que du même coup le mortel poignard d'un esprit étranger ne détruise l'artiste dans l'antre même de son art.