Ce vieux couillon aurait bien pu penser à sa retraite mais son mécanisme était trop bien huilé, on l'avait trop longtemps mis sur le qui-vive pour qu'il puisse se calmer. Il avait passé toute sa vie au travail, ça avait été son besoin vital premier et maintenant qu'on le lui enlevait, ça devenait vraie rage et possession. (p. 23)