La personnalité dotée de ces caractéristiques [schizophréniques] est inévitablement appelée à connaître une transition de la phase schizo-paranoïde à la phase dépressive fort différente de celle de la personnalité qui en est dépourvue. La différence vient de ce que l’association de ces qualités conduit à une fragmentation extrême de la personnalité et, en particulier, de l’appareil de prise de conscience de la réalité, […] et à la projection excessive de ces fragments de la personnalité dans les objets externes.