Les indigènes considèrent des phénomènes tels que sodomie, homosexualité, fétichisme, exhibitionnisme, masturbation, comme de lamentables moyens d’ersatz de l’étreinte génitale, naturelle, comme des actions mauvaises dignes d’un fou. Un Trobiandais se sentirait blessé dans sa vanité si l’on pouvait supposer qu’il fût incapable de satisfaire ses besoins par la plaisante voie naturelle et que, pour cette raison, il recourût aux succédanés.