Il n'y avait que le printemps lui-même, sa palpitation, son effervescence légère, son essence vitale partout répandue -- dans le ciel, dans les nuages rapides, dans le grand vent tiède, qui se levait soudainement, primesautier et folâtre comme un jeune chien qui vous donne des coups de pattes puis se couche pour être caressé.