Né(e) à : Ex : ParisBerkhamstead, Hertfordshire , le 15 11 1731
Mort(e) à : Dereham , le 25 04 1800
Mort(e) à : Dereham , le 25 04 1800
Biographie :
Premier enfant de John Cowper et d'Ann Donne (une descendante du poète John Donne), William est né le 15 novembre 1731 à Berkhamstead, Hertfordshire. Il est surtout connu pour ses Hymnes d'Olney. La mère du poète mourut quand il avait six ans. Il a ensuite été envoyé au pensionnat du Dr Pittman, où il a été régulièrement victime d'intimidation. Vers l'âge de 12 ans, il était gravement atteint de la variole. En 1748, il s'inscrit au Middle Temple afin de poursuivre des études de droit. Peu de temps après, il tombe amoureux de Theodora Cowper, une cousine. Son père n'a pas approuvé, et leur relation a pris fin en 1755. Cowper a écrit une séquence de poèmes, Delia, relatant cette affaire, mais le livre wa
En 1763, grâce à des liens familiaux, il accepte un poste de commis aux journaux de la Chambre des lords. Une faction rivale, cependant, a contesté sa nomination et l'épreuve a amené Cowper à entrer au Collegium Insanorum de Nathaniel Cotton à St. Albans. Là-bas, il se convertit à l'évangélisation. En 1765, il déménagea à Huntingdon et prit une chambre avec le révérend Morley Unwin et sa femme Mary. Unwin est mort d'un accident de cheval en 1767 et Cowper et Mary Unwin ont déménagé ensemble dans la ville d'Olney en 1768. Ils ne se sont séparés qu'à sa mort en 1796. À Olney, Cowper est devenu un ami proche du clergé évangélique John Newton ; Ensemble, ils ont co-écrit les Olney Hymns, qui ont été publiés pour la première fois en 1779 et comprenaient le célèbre hymne de Newton "Amazing Grace". Sur les 68 hymnes que Cowper a écrit, "Oh pour une marche plus proche avec Dieu"
En 1773, Cowper s'est fiancé à Mary Unwin, mais il a subi une autre attaque de mélancolie. Il a fait de terribles cauchemars, croyant que Dieu l'a rejeté. Cowper n'entrerait plus jamais dans une église ni ne réciterait une prière. Lorsqu'il recouvra la santé, il s'occupa du jardinage, de la menuiserie et de l'élevage des animaux. Malgré des périodes de dépression aiguë, les vingt-six années de Cowper à Olney et plus tard à Weston Underwood ont été marquées par de grandes réalisations en tant que poète, auteur d'hymnes et écrivain de lettres. Son premier volume de poésie, Poems by William Cowper, of the Inner Temple a été publié en 1782 et a été largement acclamé. Son travail a été comparé à des écrivains néo-classiques tardifs comme Samuel Johnson ainsi qu'à des poètes comme Thomas Gray. Au moment de sa mort, ses poèmes avaient déjà atteint leur dixième tirage.
La famille Cowper sem
+ Voir plusPremier enfant de John Cowper et d'Ann Donne (une descendante du poète John Donne), William est né le 15 novembre 1731 à Berkhamstead, Hertfordshire. Il est surtout connu pour ses Hymnes d'Olney. La mère du poète mourut quand il avait six ans. Il a ensuite été envoyé au pensionnat du Dr Pittman, où il a été régulièrement victime d'intimidation. Vers l'âge de 12 ans, il était gravement atteint de la variole. En 1748, il s'inscrit au Middle Temple afin de poursuivre des études de droit. Peu de temps après, il tombe amoureux de Theodora Cowper, une cousine. Son père n'a pas approuvé, et leur relation a pris fin en 1755. Cowper a écrit une séquence de poèmes, Delia, relatant cette affaire, mais le livre wa
En 1763, grâce à des liens familiaux, il accepte un poste de commis aux journaux de la Chambre des lords. Une faction rivale, cependant, a contesté sa nomination et l'épreuve a amené Cowper à entrer au Collegium Insanorum de Nathaniel Cotton à St. Albans. Là-bas, il se convertit à l'évangélisation. En 1765, il déménagea à Huntingdon et prit une chambre avec le révérend Morley Unwin et sa femme Mary. Unwin est mort d'un accident de cheval en 1767 et Cowper et Mary Unwin ont déménagé ensemble dans la ville d'Olney en 1768. Ils ne se sont séparés qu'à sa mort en 1796. À Olney, Cowper est devenu un ami proche du clergé évangélique John Newton ; Ensemble, ils ont co-écrit les Olney Hymns, qui ont été publiés pour la première fois en 1779 et comprenaient le célèbre hymne de Newton "Amazing Grace". Sur les 68 hymnes que Cowper a écrit, "Oh pour une marche plus proche avec Dieu"
En 1773, Cowper s'est fiancé à Mary Unwin, mais il a subi une autre attaque de mélancolie. Il a fait de terribles cauchemars, croyant que Dieu l'a rejeté. Cowper n'entrerait plus jamais dans une église ni ne réciterait une prière. Lorsqu'il recouvra la santé, il s'occupa du jardinage, de la menuiserie et de l'élevage des animaux. Malgré des périodes de dépression aiguë, les vingt-six années de Cowper à Olney et plus tard à Weston Underwood ont été marquées par de grandes réalisations en tant que poète, auteur d'hymnes et écrivain de lettres. Son premier volume de poésie, Poems by William Cowper, of the Inner Temple a été publié en 1782 et a été largement acclamé. Son travail a été comparé à des écrivains néo-classiques tardifs comme Samuel Johnson ainsi qu'à des poètes comme Thomas Gray. Au moment de sa mort, ses poèmes avaient déjà atteint leur dixième tirage.
La famille Cowper sem
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Le choucas
Il y a un oiseau qui, par son pelage
et par l'enrouement de sa note,
pourrait passer pour un corbeau ;
Grand habitué de l'église,
Où, tel un évêque, il trouve un perchoir,
Et aussi un dortoir.
Au-dessus du clocher brille une plaque,
Qui tourne et tourne, pour indiquer
De quel point souffle le temps.
Levez les yeux -- votre cerveau se met à nager, c'est
dans les nuages -- cela lui fait plaisir,
Il le choisit plutôt.
Aimant la hauteur spéculative
,
C'est là qu'il vole son vol aérien, Et de là voit en toute sécurité
L'agitation et le spectacle rare,
Qui occupent l'humanité en bas, En
sécurité et à son aise.
Vous pensez, sans aucun doute, il s'assoit et réfléchit
Sur les futurs os cassés et contusions,
S'il devait tomber.
Non; pas une seule pensée comme celle-là
n'emploie sa pensée philosophique,
ni ne la trouble du tout.
Il voit que ce grand rond-point,
Le monde, avec toute sa débâcle bigarrée,
Église, armée, physique, loi,
Ses coutumes et ses affaires,
Ne le regarde pas du tout,
Et dit : que dit-il ? -- Caw.
Oiseau trois fois heureux ! Moi aussi j'ai vu
Beaucoup des vanités des hommes ;
Et, las de les avoir vus,
Ces membres se résigneraient gaiement
Pour une paire d'ailes comme la tienne
Et une telle tête entre eux.
Il y a un oiseau qui, par son pelage
et par l'enrouement de sa note,
pourrait passer pour un corbeau ;
Grand habitué de l'église,
Où, tel un évêque, il trouve un perchoir,
Et aussi un dortoir.
Au-dessus du clocher brille une plaque,
Qui tourne et tourne, pour indiquer
De quel point souffle le temps.
Levez les yeux -- votre cerveau se met à nager, c'est
dans les nuages -- cela lui fait plaisir,
Il le choisit plutôt.
Aimant la hauteur spéculative
,
C'est là qu'il vole son vol aérien, Et de là voit en toute sécurité
L'agitation et le spectacle rare,
Qui occupent l'humanité en bas, En
sécurité et à son aise.
Vous pensez, sans aucun doute, il s'assoit et réfléchit
Sur les futurs os cassés et contusions,
S'il devait tomber.
Non; pas une seule pensée comme celle-là
n'emploie sa pensée philosophique,
ni ne la trouble du tout.
Il voit que ce grand rond-point,
Le monde, avec toute sa débâcle bigarrée,
Église, armée, physique, loi,
Ses coutumes et ses affaires,
Ne le regarde pas du tout,
Et dit : que dit-il ? -- Caw.
Oiseau trois fois heureux ! Moi aussi j'ai vu
Beaucoup des vanités des hommes ;
Et, las de les avoir vus,
Ces membres se résigneraient gaiement
Pour une paire d'ailes comme la tienne
Et une telle tête entre eux.
Une fable
Un corbeau, tandis qu'avec une poitrine brillante,
elle pressait tendrement ses œufs nouvellement pondus,
Et, sur son ouvrage d'osier monté haut,
Ses poulets comptaient prématurément
(Une faute que les philosophes pourraient blâmer,
Si tout à fait exemptés de la même),
Apprécié à l'aise le jour génial;
« C'était en avril, comme disent les imbéciles,
la législature l'appelait mai.
Mais tout à coup un vent, aussi haut
que jamais balayé un ciel d'hiver, a
secoué les jeunes feuilles autour de ses oreilles,
et l'a remplie de mille peurs, de
peur que le souffle grossier ne brise la branche,
et ne répande ses espoirs dorés en bas.
Mais juste à la veille le temps soufflant
Et toutes ses peurs étaient étouffées ensemble :
Et maintenant, dit le pauvre Ralph irréfléchi.
C'est fini, et la couvée est en sécurité ;
(Pour les corbeaux, cependant, en tant qu'oiseaux de présage,
Ils enseignent aux conjurateurs et aux vieilles femmes
à nous dire ce qui va arriver,
Ne peuvent pas du tout se prophétiser.)
Le matin est venu, quand le voisin Hodge,
qui l'avait longtemps marquée loge aérée,
Et destiné tout le trésor là
Un cadeau à sa foire d'attente,
Climb'd comme un écureuil à son dray,
Et emporté le prix sans valeur loin.
Morale :
« Seule la Providence assure
Dans chaque changement le mien et le vôtre : La
sécurité ne consiste pas à échapper aux
dangers d'une forme effrayante ;
Un tremblement de terre peut être offert pour épargner
L'homme étranglé par un cheveu.
Le destin vole avec un pas silencieux,
Trouvé souvent dans ce que nous
redoutons le moins, fronce les sourcils dans la tempête avec un front en colère,
mais au soleil frappe le coup.
Un corbeau, tandis qu'avec une poitrine brillante,
elle pressait tendrement ses œufs nouvellement pondus,
Et, sur son ouvrage d'osier monté haut,
Ses poulets comptaient prématurément
(Une faute que les philosophes pourraient blâmer,
Si tout à fait exemptés de la même),
Apprécié à l'aise le jour génial;
« C'était en avril, comme disent les imbéciles,
la législature l'appelait mai.
Mais tout à coup un vent, aussi haut
que jamais balayé un ciel d'hiver, a
secoué les jeunes feuilles autour de ses oreilles,
et l'a remplie de mille peurs, de
peur que le souffle grossier ne brise la branche,
et ne répande ses espoirs dorés en bas.
Mais juste à la veille le temps soufflant
Et toutes ses peurs étaient étouffées ensemble :
Et maintenant, dit le pauvre Ralph irréfléchi.
C'est fini, et la couvée est en sécurité ;
(Pour les corbeaux, cependant, en tant qu'oiseaux de présage,
Ils enseignent aux conjurateurs et aux vieilles femmes
à nous dire ce qui va arriver,
Ne peuvent pas du tout se prophétiser.)
Le matin est venu, quand le voisin Hodge,
qui l'avait longtemps marquée loge aérée,
Et destiné tout le trésor là
Un cadeau à sa foire d'attente,
Climb'd comme un écureuil à son dray,
Et emporté le prix sans valeur loin.
Morale :
« Seule la Providence assure
Dans chaque changement le mien et le vôtre : La
sécurité ne consiste pas à échapper aux
dangers d'une forme effrayante ;
Un tremblement de terre peut être offert pour épargner
L'homme étranglé par un cheveu.
Le destin vole avec un pas silencieux,
Trouvé souvent dans ce que nous
redoutons le moins, fronce les sourcils dans la tempête avec un front en colère,
mais au soleil frappe le coup.
Une énigme
Une aiguille, aussi petite soit-elle,
En vrac et à l'usage me surpasse,
Mon achat n'est pas non plus cher ;
Pour peu, et presque pour rien
Autant de mes semblables sont achetés
Comme les jours sont dans l'année.
Pourtant bien que mais peu d'utilité nous nous vantons,
Et sommes procurés à peu de frais,
Le travail n'est pas léger ;
Il ne demande pas peu d'artificiers,
Tous habiles dans leurs différentes tâches,
Pour nous façonner correctement,
L'un fait fondre le métal sur le feu,
Un second le dessine en fil de fer,
Le cisaille un autre plis ;
Qui coupe en longueur le fil d'airain
De celui qui, frottant chaque lambeau,
Donne à tous une taille égale.
Un cinquième prépare, exact et rond,
Le bouton avec lequel il doit être couronné ;
Son disciple fait vite;
Et avec son maillet et sa lime
Pour façonner la pointe, emploie quelque temps
Le septième et le dernier.
Maintenant, donc, dipe ! déclarez
Quelle créature, merveilleuse et rare,
Un procédé qui
atteint son but avec tant de bruit
produit enfin ! — dites-moi vrai,
Et prenez-moi pour vos peines !
Une aiguille, aussi petite soit-elle,
En vrac et à l'usage me surpasse,
Mon achat n'est pas non plus cher ;
Pour peu, et presque pour rien
Autant de mes semblables sont achetés
Comme les jours sont dans l'année.
Pourtant bien que mais peu d'utilité nous nous vantons,
Et sommes procurés à peu de frais,
Le travail n'est pas léger ;
Il ne demande pas peu d'artificiers,
Tous habiles dans leurs différentes tâches,
Pour nous façonner correctement,
L'un fait fondre le métal sur le feu,
Un second le dessine en fil de fer,
Le cisaille un autre plis ;
Qui coupe en longueur le fil d'airain
De celui qui, frottant chaque lambeau,
Donne à tous une taille égale.
Un cinquième prépare, exact et rond,
Le bouton avec lequel il doit être couronné ;
Son disciple fait vite;
Et avec son maillet et sa lime
Pour façonner la pointe, emploie quelque temps
Le septième et le dernier.
Maintenant, donc, dipe ! déclarez
Quelle créature, merveilleuse et rare,
Un procédé qui
atteint son but avec tant de bruit
produit enfin ! — dites-moi vrai,
Et prenez-moi pour vos peines !
Une énigme
Je suis juste deux et deux, j'ai chaud, j'ai froid,
Et le parent des nombres qu'on ne peut pas dire.
Je suis légal, illégal - un devoir, une faute,
je suis souvent vendu cher, bon à rien une fois acheté ;
Une aubaine extraordinaire, et une évidence,
Et a cédé avec plaisir lorsqu'il a été pris de force.
Une réponse, du Gentleman's Magazine, Vol. LXXVI. p. 1224.
"Une énigme de Cowper
m'a fait jurer comme un soldat;
Mais ma colère, hélas! était en vain;
Pour me souvenir de la félicité
du doux baiser de la beauté,
Je suis juste deux et deux, j'ai chaud, j'ai froid,
Et le parent des nombres qu'on ne peut pas dire.
Je suis légal, illégal - un devoir, une faute,
je suis souvent vendu cher, bon à rien une fois acheté ;
Une aubaine extraordinaire, et une évidence,
Et a cédé avec plaisir lorsqu'il a été pris de force.
Une réponse, du Gentleman's Magazine, Vol. LXXVI. p. 1224.
"Une énigme de Cowper
m'a fait jurer comme un soldat;
Mais ma colère, hélas! était en vain;
Pour me souvenir de la félicité
du doux baiser de la beauté,
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