L'hôtel a pour règle de donner à ses chambres le nom des personnages célèbres qui y ont séjourné ; cette pratique souligne — bien involontairement — son déclin spectaculaire d'après-guerre : si on se cantonne à la période précédant le conflit, on peut choisir entre "Atatürk", "Mata-Hari" ou "Son Altesse Zog d’Albanie". Après, on ne trouve rien de plus prestigieux que "Julio Iglesias".