Il faut toujours laisser une place à la coïncidence, selon Win. Quand on ne le fait pas, on tombe fatalement dans l’apophénie. Chaque chose devient partie intégrante du schéma global d’une conspiration. Et en se confortant dans la symétrie parfaite du tout, d’après lui, on a trop de chances de rater la vraie menace, toujours moins symétrique, moins parfaite. Mais qu’il supposait toujours être là, elle le savait.