Vettori était assis dans son petit bureau du rez-de-chaussée. De l’autre côté du mur, l’orchestre jouait, mais il était trop habitué à l’entendre pour y prêter attention.
La musique de jazz lui faisait à peu près autant d’effet que le tic-tac d’une pendule. Il se sentait satisfait et d’humeur enjouée, avec sa bouteille de vin et son assiette de spaghetti devant lui. Tout marchait à souhait.