Des guerriers armés de lances, de flèches et d’arcs observent les visiteurs en silence. Ils sont nus ; de longs koteka, des étuis péniens, en travers de leurs ventres. L’un d’eux s’avance. Sa peau est toute ratatinée comme un vieux cuir.
— J’ai l’impression qu’ils nous attendaient ! dit Ballancourt.
— Oui, les nouvelles vont vite dans la brousse.