Sur ma gauche, assises en rang d’oignons le long d’un mur, une dizaine de personnes pieds et poings liés avaient encore une cagoule sur la figure. Les policiers s’efforçaient d’être les plus rapides possible pour les libérer.
Je restais stoïque. Ébahi par la scène, je ne comprenais rien et regardais bêtement tous ces gens encore apeurés de ce qui leur était arrivé.