les autorités du Parti choisissaient de punir leurs cadres au cas par cas, "sans tambour ni trompettes", et surtout, sans en avertir le peuple.
Chen essaya de trouver des renseignements sur internet. A son grand étonnement, plusieurs sites étaient bloqués. Les portails mentionnant Zhou affichaient le message "erreur". Il n'obtint que des extraits de médias officiels résumant l'affaire en deux ou trois lignes. Le contrôle d'internet n'était pas un phénomène inconnu de Chen, mais son étendue et son efficacité l'effrayaient.