Le monde de Zhuzi est comme un cercle fermé. Peu importe d'ailleurs, puisqu'il en va de même du mien. Un cercle n'a ni commencement ni fin, et si je ne peux trouver ce que je cherche dans mon propre cercle, il est hors de question que je puisse le trouver dans celui d'un autres. Les cercles de deux êtres peuvent se couper ou même être concentriques : ils ne peuvent jamais coïncider. Quoiqu'on fasse, un couple ne peut être que la somme de deux personnes. De là découle la solitude humaine.