Mais tous disent à peu près la même chose : que cette révélation a changé leur vie ! Qu'ils ont l'impression d'être amputés d'une partie de leur histoire, dont l'absence les empêche de se construire normalement, comme un puzzle dont il manque les pièces centrales. Et que même si les liens affectifs sont plus forts que les liens génétiques, tous aimeraient avoir des informations sur le donneur. (p.133-134)