Quelle somme d’émotions un être humain pouvait-il supporter d’affilée ? Combien de fois son cœur pouvait-il bondir, sa respiration se couper avant qu’il ne devienne indifférent à tout et que les événements alentour ne se transforment en un décor dépourvu de sens, sans vraie réalité ?
(Pocket, p.179)