Elle était née dans les belles-lettres et dans un milieu pour qui l’aventure était l’idéal de tout être humain normalement constitué. On avait de l’argent, chez eux, mais on n’allait pas le dépenser au restaurant ni dans les hôtels de luxe ou dans la sape, les bagnoles, les mondanités, etc. On ne frimait pas, on avait horreur de ça. Il fallait que l’argent serve à grandir vos qualités ou à les révéler, qu’il vous aide à savoir qui vous étiez.