Le mot s'efface au contact de l'eau. Indicible, la mer, indicible le chassé-croisé de la mer et du rêve humain. Silence. Éric le garde pour lui, le silence de la mer, le motus des traversées qu'il accomplit en lui-même en traversant les houles, et s'il n'est pas Alain Gerbault qui tourne le dos aux mensonges des civilisations, il n'en cherche pas moins l'innocence au large, au plus loin.