Ne sommes-nous pas, face aux oeuvres d'art, la proie de ce rapport fou avec le visible? Peut-être cherchons-nous simplement, comme les oiseaux, à nous nourrir? Notre faim est insatiable, et il nous semble que la peinture, en avançant vers nous ses quadrilatères chargés de couleurs enchanteresses, nous tend des richesses que nous voudrions faire nôtres.