Les Français partis, l’ensemble de nos secteurs névralgiques est géré par des patriotes qui n’ont pour compétence que leur foi, et cela ne suffit pas.(...)
Si nous voulons accéder à des jours meilleurs, nous devons axer l’effort sur nos enfants. Ils sont l’Algérie de demain. Ils sont plus aptes à consolider la liberté que nous.
— Nous ?…
— Les rescapés de la guerre. Nos têtes sont pleines de vacarme, nos poumons de baroud, nos consciences de traumatismes. C’est la raison pour laquelle nous devons céder la place à la nouvelle génération, celle de l’avenir.