Cet objet souvent oublié, rarement beau, est gardé par devoir, par respect pour les ancêtres. Il n'est en réalité qu'objet de deuil. Les élèves ne peuvent s' empêcher de le toucher, de le scruter dans ses moindres plis comme s'il allait exaucer un voeu, produire un miracle. (p.31)