Avec ces derniers mots, Fumiko se leva et quitta le salon.
Kikuji, de son côté, avait l'impression que venait de s'écarter comme un rideau de sa pensée.
- Alléger le fardeau des morts... oui, il lui semblait comprendre cela... Se torturer à leur sujet, c'était comme de les insulter. Un tort qu'on leur fait sans y penser. Les morts ne font pas la morale aux vivants ; ils n'exigent pas d'eux qu'ils leur appliquent leurs catégories morales...