.....J'avais à ce moment-là, comme le reste de la nation, une grande soif de croyance. J'étais prête à croire en Dieu, au diable, à Bouddha, aux fantômes, à n'importe quoi pourvu qu'on me donnât quelque chose auquel croire. je ne distinguais pas la religion de la superstition puisque l'une comme l'autre étaient également blâmées et interdites