« Je n’avais jamais eu jusqu’ici l’occasion d’apprécier une propreté aussi paisible.
Si j’aimais tellement cette chambre de malade, c’est parce que la vie n’y avait pas sa place.
Mais à côté de l’attachement que j’éprouvais pour cette chambre,la maladie était en train d’envahir lourdement l’intérieur du corps de mon frère. …La liste des aliments qu’il pouvait encore assimiler se réduisait vite.
J’ai perdu l’appétit en même temps que lui ».