Un océan de mort s'étalait à mes pieds. Un océan écrasant qui n'était ni liquide, ni paysage, ni souvenir, ni mots. Nulle part il n'y avait de chemin pour le traverser, on n'y voyait aucun petit oiseau s'y reposer, seules les vagues noires arrivaient sans relâche de l'extrémité de l'infini.