Alors, Yumi se détourna. Elle n'avait pas envie de voir et d'entendre la souffrance des autres. Elle cacha son visage entre ses mains pour oublier cette nature ivre qui exultait, insouciante, presque indécente, s'obstinant à donner un sens à la vie quand la violence et la bêtise humaine la rendaient aussi vaine.
Elle ne parvint pas à rester sourde aux claquements secs des armes automatiques quand la folie des hommes recommença.