Mon corps est toujours la chose de quelqu'un d'autre, la chose du pays, celle des parents et, un jour ou l'autre, celle d'un mari et d'une famille. Alors qu'en vérité mon corps et mon coeur n'appartiennent qu'à moi. Ce que je veux pouvoir décider par moi-même, ce n'est pas qui peut me blesser, mais si je veux l'être et comment. J'ai donc décidé de mourir au moment le plus heureux de ma vie.